Les réserves du GONm
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- Administrateur
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Réserve de Chausey : retour sur le stage de février
Le maintien du dernier stage de la saison hivernale à Chausey n’était pas acquis. Tandis que les conditions sanitaires permettaient sa tenue, c’est l’alerte à la neige qui a provoqué une petite inquiétude… Alors ils étaient heureux les 6 stagiaires en partance pour l’archipel de Chausey quand ils se sont retrouvés sur le quai du port de Granville ce mercredi 10 février. Tout sourire sous les masques et sous un grand soleil nous avons donc embarqué à bord de Joly France. Après avoir doublé la pointe du Roc enneigée, nous avons pu observer fou de Bassan, eider à duvet, vanneau huppé, mouette tridactyle et des dizaines d’alcidés. L’arrivée à Chausey, avec sa Grande île et ses îlots enneigés était inhabituelle, et inédite pour certains d’entre nous. Après avoir préparé le doris pour sa mise à l’eau en soirée, la première journée a été consacrée à la prospection de la Grande île. Le lendemain, le coefficient de marée conjugué au fort vent d’est nous a obligé à tirer fort sur les avirons de l’annexe pour atteindre le Bec-Scie ! Mais au bout de l’effort une sortie dans l’ouest de l’archipel afin de compter les limicoles au reposoir : bécasseaux variable et violet, barge rousse, courlis cendré … En fin de matinée, le froid (un ressenti quasi polaire !) a néanmoins eu raison de notre volonté, aussi la proposition d’un « dernier petit crochet » n’a pas rencontré un franc succès ! À peine réchauffé, nous voilà reparti, à pied cette fois, sur l’estran pour suivre les différentes zones d’alimentation des limicoles et collecter quelques contrôles d’oiseaux bagués. Le lendemain matin le vent d’est avait encore forci et faute de muscles adaptés il a fallu renoncer à la sortie matinale en doris, sortie reportée à l’après midi, où, sous un soleil radieux, nous sommes allés prospecter les zones d’alimentation de l’est de l’archipel, ramasser quelques pelotes de réjection de cormoran huppé et vérifier quelques postes anti-réinfestation de rats. Ces activités nous ont également permis de constater le début de la saison de reproduction 2021 des oiseaux marins avec la découverte du premier œuf de grand cormoran.
Sur Grande Ile, globalement peu d’oiseaux ont été observés. Nous avons néanmoins pu contacter grive mauvis, pouillot véloce chanteur, fauvette à tête noire chanteuse, bécasse des bois, traquet pâtre, roitelet huppé et triple-bandeau … et, griotte sur le crumble, grosbec cassenoyaux.
Tout cela dans une sympathique ambiance, on a bien fait de venir !
Sur Grande Ile, globalement peu d’oiseaux ont été observés. Nous avons néanmoins pu contacter grive mauvis, pouillot véloce chanteur, fauvette à tête noire chanteuse, bécasse des bois, traquet pâtre, roitelet huppé et triple-bandeau … et, griotte sur le crumble, grosbec cassenoyaux.
Tout cela dans une sympathique ambiance, on a bien fait de venir !
- Debout Gérard
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Labour annuel à Saint-Sylvain
La semaine dernière, le labour de la réserve de Saint-Sylvain a eu lieu. Le site est donc prêt à accueillir l’œdicnème criard qui devrait y arriver d'ici quelques jours ; en attendant, quelques alouettes une vingtaine de linottes mélodieuses et le premier traquet motteux de l'année
- Debout Gérard
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Re: Les réserves du GONm
Bonsoir à tous,
Jeudi, j'ai recensé et ramassé ces immondices sur la Grande Noé.
Le travail du garde c'est aussi cela, s'occuper d'enlever les saletés laissées par des malotrus. Sur la réserve, nous sommes proche d'une zone dite "difficile" et on se sent parfois un peu impuissant face à ces incivilités. C'est plus de 200 l de déchet qui ont été ramassés en plus des 2 poubelles fixes. La réserve avait été entièrement nettoyée 12 jours avant. Malheureusement d'autres problèmes perdurent comme certains cyclistes et pécheurs qui n'en font qu'à leur tête.
bonne soirée
Céline
Jeudi, j'ai recensé et ramassé ces immondices sur la Grande Noé.
Le travail du garde c'est aussi cela, s'occuper d'enlever les saletés laissées par des malotrus. Sur la réserve, nous sommes proche d'une zone dite "difficile" et on se sent parfois un peu impuissant face à ces incivilités. C'est plus de 200 l de déchet qui ont été ramassés en plus des 2 poubelles fixes. La réserve avait été entièrement nettoyée 12 jours avant. Malheureusement d'autres problèmes perdurent comme certains cyclistes et pécheurs qui n'en font qu'à leur tête.
bonne soirée
Céline
Re: Les réserves du GONm
- la réserve de la grande noe avant le confinement : les mouettes mélanocéphales (280) et les mouettes rieuses (700) sont arrivées.
canards souchets (80) en halte de migration de Printemps, grands cormorans en plumage nuptial (nicheurs),couple de bergeronnette des ruisseaux.
grèbes huppés en parades.
CGe
canards souchets (80) en halte de migration de Printemps, grands cormorans en plumage nuptial (nicheurs),couple de bergeronnette des ruisseaux.
grèbes huppés en parades.
CGe
- Fichiers joints
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pour une ornithologie plurielle
Re: Les réserves du GONm
à voir ce soir sur france 2 à 22h55:
terres de remblai sulfatées dangereuses pour la nature utilisées pour remblayer des carrières en Normandie !!!
(voir terres au nord de la grande noe)
CGe
terres de remblai sulfatées dangereuses pour la nature utilisées pour remblayer des carrières en Normandie !!!
(voir terres au nord de la grande noe)
CGe
pour une ornithologie plurielle
Re: Les réserves du GONm
"Complément d'enquête" révèle comment le chantier du Grand Paris contourne la réglementation pour stocker des terres polluées
Publié le 25/03/2021 19:34
Mis à jour le 25/03/2021 20:58
Complément d'enquête. Grand Paris Express : le chantier est-il si exemplaire ?
Article rédigé par
France 2
France Télévisions
Complément d'enquête
Édition du jeudi 25 mars 2021
La gestion du titanesque chantier du Grand Paris Express se voudrait exemplaire. Pourtant, "Complément d'enquête" a découvert des pratiques pas toujours rigoureuses, voire frauduleuses, chez certains opérateurs en charge des terres excavées.
Pour construire le Grand Paris Express, ses 200 km de lignes de métro et ses 68 gares, le chantier est titanesque : ce sont pas moins de 43 millions de tonnes de terre qui doivent être excavées. Une partie de ces terres transite par des ports implantés le long de la Seine, où elles sont triées avant d'être expédiées vers des sites de stockage adaptés. Le tri doit distinguer les terres inertes des terres polluées, par exemple au sulfate (nocif pour l'homme dans l'eau potable).
Sur le site de Gennevilliers, selon un protagoniste du port filmé en caméra cachée, ce tri est loin d'être rigoureux. "Je peux vous dire une chose : ce n'est pas de la terre inerte, ce n'est pas possible, affirme-t-il. Ce n'est que de la terre sulfatée." Le chargement de dizaines de camions est mélangé "dans un même casier qui fait 2 000 tonnes", expose-t-il.
"Ils prennent un échantillon au hasard, et si ça ne leur plaît pas, ils prennent un peu de l'autre côté du tas, ils font une analyse, et puis c'est bon..."
Un informateur à "Complément d'enquête"
Pour contourner la réglementation, certains opérateurs iraient donc jusqu'à modifier le résultat de leurs analyses...
L'informateur de "Complément d'enquête" a mis les journalistes sur la piste d'une barge qui doit quitter le port en direction de la Normandie. Elle transporte 2 000 tonnes de terres officiellement inertes. Des terres avec 1 800 mg de sulfate par kilo, selon les analyses fournies par l'opérateur. Un taux un peu au-dessus des normes, mais toléré par les autorités pour les décharges de terre inerte, et sans risque pour l'environnement.
Les journalistes ont pisté cette péniche grâce au système de suivi GPS de la marine marchande. Ils la retrouvent amarrée au port industriel de Saint-Aubin-lès-Elbeuf, au sud de Rouen. La terre venue de Gennevilliers est déchargée dans des remorques de tracteur, pour finir à 650 mètres de là, dans le lac d'une ancienne carrière. Son propriétaire a obtenu l'autorisation d'y déverser plus de 650 000 tonnes de terre strictement inerte. Car le site est sensible : il jouxte la Seine et ses nappes phréatiques.
Un taux de sulfate cinq fois supérieur aux analyses de départ
Les journalistes ont prélevé un échantillon sur ce tas provenant de la barge qu'ils ont suivie. Ils l'ont envoyé dans un laboratoire d'analyses agréé, le même que celui de l'opérateur du site de Gennevilliers. Le résultat est très différent des données qu'il avait fournies : le taux de sulfate est 5 fois supérieur aux analyses de départ, et près de 9 fois au-dessus de la norme en vigueur. Si ces terres avaient été envoyées au bon endroit, leur stockage aurait coûté deux fois plus cher...
Devant les résultats de cette enquête, l'un des responsables de la Société du Grand Paris, Bernard Cathelain, se dit conscient des risques d'abus potentiels et met en avant les garanties prévues : un système de suivi GPS des camions et des barges de déchets unique en Europe. Mais ce système repose en partie sur la confiance dans les opérateurs chargés de trier les terres... "S'il y a dans la chaîne des abus ou des déclarations mensongères, nous ferons les recours nécessaires, mais aujourd'hui, nous n'avons aucune alerte de ce genre", assure-t-il.
Extrait de "Déchets : le sale business français", un document à voir dans "Complément d'enquête" le 25 mars 2021.
> Les replays des magazines d'info de France Télévisions sont disponibles sur le site de Franceinfo et son application mobile (iOS & Android), rubrique "Magazines".
Publié le 25/03/2021 19:34
Mis à jour le 25/03/2021 20:58
Complément d'enquête. Grand Paris Express : le chantier est-il si exemplaire ?
Article rédigé par
France 2
France Télévisions
Complément d'enquête
Édition du jeudi 25 mars 2021
La gestion du titanesque chantier du Grand Paris Express se voudrait exemplaire. Pourtant, "Complément d'enquête" a découvert des pratiques pas toujours rigoureuses, voire frauduleuses, chez certains opérateurs en charge des terres excavées.
Pour construire le Grand Paris Express, ses 200 km de lignes de métro et ses 68 gares, le chantier est titanesque : ce sont pas moins de 43 millions de tonnes de terre qui doivent être excavées. Une partie de ces terres transite par des ports implantés le long de la Seine, où elles sont triées avant d'être expédiées vers des sites de stockage adaptés. Le tri doit distinguer les terres inertes des terres polluées, par exemple au sulfate (nocif pour l'homme dans l'eau potable).
Sur le site de Gennevilliers, selon un protagoniste du port filmé en caméra cachée, ce tri est loin d'être rigoureux. "Je peux vous dire une chose : ce n'est pas de la terre inerte, ce n'est pas possible, affirme-t-il. Ce n'est que de la terre sulfatée." Le chargement de dizaines de camions est mélangé "dans un même casier qui fait 2 000 tonnes", expose-t-il.
"Ils prennent un échantillon au hasard, et si ça ne leur plaît pas, ils prennent un peu de l'autre côté du tas, ils font une analyse, et puis c'est bon..."
Un informateur à "Complément d'enquête"
Pour contourner la réglementation, certains opérateurs iraient donc jusqu'à modifier le résultat de leurs analyses...
L'informateur de "Complément d'enquête" a mis les journalistes sur la piste d'une barge qui doit quitter le port en direction de la Normandie. Elle transporte 2 000 tonnes de terres officiellement inertes. Des terres avec 1 800 mg de sulfate par kilo, selon les analyses fournies par l'opérateur. Un taux un peu au-dessus des normes, mais toléré par les autorités pour les décharges de terre inerte, et sans risque pour l'environnement.
Les journalistes ont pisté cette péniche grâce au système de suivi GPS de la marine marchande. Ils la retrouvent amarrée au port industriel de Saint-Aubin-lès-Elbeuf, au sud de Rouen. La terre venue de Gennevilliers est déchargée dans des remorques de tracteur, pour finir à 650 mètres de là, dans le lac d'une ancienne carrière. Son propriétaire a obtenu l'autorisation d'y déverser plus de 650 000 tonnes de terre strictement inerte. Car le site est sensible : il jouxte la Seine et ses nappes phréatiques.
Un taux de sulfate cinq fois supérieur aux analyses de départ
Les journalistes ont prélevé un échantillon sur ce tas provenant de la barge qu'ils ont suivie. Ils l'ont envoyé dans un laboratoire d'analyses agréé, le même que celui de l'opérateur du site de Gennevilliers. Le résultat est très différent des données qu'il avait fournies : le taux de sulfate est 5 fois supérieur aux analyses de départ, et près de 9 fois au-dessus de la norme en vigueur. Si ces terres avaient été envoyées au bon endroit, leur stockage aurait coûté deux fois plus cher...
Devant les résultats de cette enquête, l'un des responsables de la Société du Grand Paris, Bernard Cathelain, se dit conscient des risques d'abus potentiels et met en avant les garanties prévues : un système de suivi GPS des camions et des barges de déchets unique en Europe. Mais ce système repose en partie sur la confiance dans les opérateurs chargés de trier les terres... "S'il y a dans la chaîne des abus ou des déclarations mensongères, nous ferons les recours nécessaires, mais aujourd'hui, nous n'avons aucune alerte de ce genre", assure-t-il.
Extrait de "Déchets : le sale business français", un document à voir dans "Complément d'enquête" le 25 mars 2021.
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pour une ornithologie plurielle
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- Enregistré le : 08 mai 2013, 14:54
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Tombelaine/50
Hier matin je suis allé à Tombelaine par un temps frisquet et avec un fort vent de nord ouest.
Le site commence a retrouver son ambiance printanière avec ses goélands criards qui se réapproprient leur site de nidification au milieu de la baie du Mont Saint-Michel, au total il y avait une centaine de goélands argentés et une vingtaine de marins.
Au sommet une vingtaine d'aigrettes garzettes étaient présentes et faisaient entendre leur gargouillement si particulier émis seulement sur les colonies.
La fauvette à tête noire était présente mais je ne l'ai pas entendue chanter ainsi que 2 linottes mélodieuses, 2021 verra-t-il le retour de cette espèce comme nicheuse après plusieurs années d'absence.
Les espèces sédentaires étaient également là :
1 accenteur mouchet chanteur, 1 merle noir, 2 troglodytes mignons chanteurs, 2 pigeons ramiers dont 1 chanteur et 2 corneilles noires.
Le faucon pèlerin n'était pas présent lors de mon bref passage.
Aucun carnivore ne semble présent sur le site ce qui augure d'une année sereine pour les nicheurs.
La végétation n'a pas souffert de la froidure de l'hiver, le maceron est en fleur et occupe une bonne partie des sentiers.
Pendant le mois d'avril les oiseaux vont profiter d'une grande tranquillité pour s'installer et débuter leur cycle de reproduction avec ce nouveau confinement.
Le site commence a retrouver son ambiance printanière avec ses goélands criards qui se réapproprient leur site de nidification au milieu de la baie du Mont Saint-Michel, au total il y avait une centaine de goélands argentés et une vingtaine de marins.
Au sommet une vingtaine d'aigrettes garzettes étaient présentes et faisaient entendre leur gargouillement si particulier émis seulement sur les colonies.
La fauvette à tête noire était présente mais je ne l'ai pas entendue chanter ainsi que 2 linottes mélodieuses, 2021 verra-t-il le retour de cette espèce comme nicheuse après plusieurs années d'absence.
Les espèces sédentaires étaient également là :
1 accenteur mouchet chanteur, 1 merle noir, 2 troglodytes mignons chanteurs, 2 pigeons ramiers dont 1 chanteur et 2 corneilles noires.
Le faucon pèlerin n'était pas présent lors de mon bref passage.
Aucun carnivore ne semble présent sur le site ce qui augure d'une année sereine pour les nicheurs.
La végétation n'a pas souffert de la froidure de l'hiver, le maceron est en fleur et occupe une bonne partie des sentiers.
Pendant le mois d'avril les oiseaux vont profiter d'une grande tranquillité pour s'installer et débuter leur cycle de reproduction avec ce nouveau confinement.
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Re: Les réserves du GONm
Bonjour à tous,
Fin mars, j'ai rénové les radeaux à sternes de la réserve afin que Fabrice les positionne le 1 er Avril avec l'aide logistique de de la base de loisirs de Lery Poses pour le bateau. Quelques jours plus tard, ils étaient déjà bien occupés. L'ilot est aussi bien envahi de mouettes. Céline
Fin mars, j'ai rénové les radeaux à sternes de la réserve afin que Fabrice les positionne le 1 er Avril avec l'aide logistique de de la base de loisirs de Lery Poses pour le bateau. Quelques jours plus tard, ils étaient déjà bien occupés. L'ilot est aussi bien envahi de mouettes. Céline
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Grande Noë
Le 1er avril, Samuel et moi avons mis les radeaux sur les bouées sur le plan d'eau de la réserve de la Grande Noë.
C'était la première fois que j'utilisais la nouvelle cale de mise à l'eau du bateau : quelle belle idée qu'a eu Christian Gérard, le conservateur de la réserve, de proposer cette installation ! La mise à l'eau est tellement plus facile ! Quelques observations sont venus agrémenter notre intervention : 1 sarcelle d'été, 1 couple de nette rousse, 1 chevalier arlequin, plus de 750 mouettes mélanocéphales, la première sterne pierregarin venue survoler un des radeaux fraîchement mis à l'eau, près de 300 mouettes rieuses dont certaines sur des nids, la colonie de grand cormoran très actives avec des dizaines de nids occupés ... Sur les berges les premiers rossignol et pouillot fitis chanteurs. Et grâce à Christine et Daniel rencontré sur le site, le milan noir !
C'était la première fois que j'utilisais la nouvelle cale de mise à l'eau du bateau : quelle belle idée qu'a eu Christian Gérard, le conservateur de la réserve, de proposer cette installation ! La mise à l'eau est tellement plus facile ! Quelques observations sont venus agrémenter notre intervention : 1 sarcelle d'été, 1 couple de nette rousse, 1 chevalier arlequin, plus de 750 mouettes mélanocéphales, la première sterne pierregarin venue survoler un des radeaux fraîchement mis à l'eau, près de 300 mouettes rieuses dont certaines sur des nids, la colonie de grand cormoran très actives avec des dizaines de nids occupés ... Sur les berges les premiers rossignol et pouillot fitis chanteurs. Et grâce à Christine et Daniel rencontré sur le site, le milan noir !
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