Le réseau des refuges du GONm

[GERARD]

intéressant la jeune bondrée !
dans ce bois un couple de bondrée a niché au moins 12 ans, peut-être un autre
couple est revenu s'installer ! christian

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102- Participer aux enquêtes à partir des refuges
L'enquête "communes" menée depuis le printemps a trouvé sa place au refuge de Ducy-Sainte-Marguerite/14 chez Monsieur Petrich. J.M. Savigny, le correspondant, y a fait un relevé de 30 min; 21 espèces, dont le bouvreuil, la sittelle, etc, le verger haute tige est bien habité, les grives litornes l'apprécient particulièrement! Parmi les commentaires de Jean-Marc, l'observation des traces de coups de bec des pics sur les branches mortes des pommiers.
Comptage du 03/12/2013 à partir de 10h25.

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103- Titre provoquant : apprendre la communication au refuge!
Le changement de responsable au sein de l'entreprise LTP Loisel SAS de Brécey/50 a été l'occasion de prendre contact avec la nouvelle entreprise et de conforter l'existence de trois refuges en sites industriels par le renouvellement des conventions de refuge. Pour l'occasion, Alain Chartier, vice-président pour la Basse-Normandie avait fait le déplacement jusque dans le sud-Manche afin de signer ces trois documents au nom de l'association. (13 décembre 2013)
Deux journaux ont rendu compte de l'événement, Ouest-France et la Manche libre.
Le titre de l'article de Ouest-France est intéressant car il met bien en évidence l'apparente opposition qui existe entre le développement de sites industriels tels que carrières ou bassins de décantation désaffectés et la "protection de la nature" (expression du 20e siècle) ou la prise en compte de la biodiversité dans la gestion de sites artificiels. C'est en tout cas un titre parfait pour attirer le lecteur non motivé par un sujet purement naturaliste! Osons un peu de provoc' gentille de temps en temps... Il y a souvent matière à!... (pour l'humour, allez voir à viewtopic.php?f=5&t=706&p=3154#p3154)

article: Ouest-France 21-21/12/2013 Brécey/50

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104- Le refuge de la Fertté-Fresnel

[pgachet]

Installation de nichoir à Saint-Gilles (50)

Un nichoir à effraie a été installé, hier, sur le refuge GONm de Laurent Bignon à Saint-Gilles (50) . Il a fallu une escalade un peu périlleuse pour placer le nichoir dans la remise semi-ouverte du bâtiment d'exploitation maraîchère.

James nous signalait il y a quelques mois, la reproduction catastrophique de l'effraie cette année. Les conditions climatiques n'ont pas permis à cette chouette de mener à bien ses nichées par manque de nourriture. Si on ajoute à cela ses difficultés plus anciennes à trouver un gîte (disparition de l'habitat ancien, des granges, fermeture des combles des clochers) et l'impact de la circulation routière sur l'espèce, il semble plus que jamais important de contribuer à sa nidification.

Espérons que l'effraie qui rôde dans les parages saura trouver le chemin de ce nichoir, estampillé GONm, fabriqué par M.Lasquellec.

Merci à Laurent de son accueil et de sa disponiblité.

Philippe Gachet et Claude Lebouteiller.

Les photos ne sont pas terribles mais l'appareil photo a lâché au moment fatidique. C'est un portable un peu ancien qui a sauvé la mise.

Claude et Laurent après l'installation.

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106- Un refuge dans l'Eure: deux jardins voisins associés
A Bourg-Beaudoin, deux adhérents du GONm voisins ont associé leurs jardins en un refuge. En complément des informations apportées "page des refuges" du bulletin de liaison le Petit Cormoran 201 de mars-avril 2014, vous trouverez ici quelques témoignages illustrés des aménagements cités dans le texte à paraitre. La mare, les nichoirs, le pierrier, les tas de bois, le compost, la haie,etc, tout est pensé en faveur des animaux sauvages du site. Oiseaux, hérisson, crapaud, chauves-souris y trouvent leur compte!

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107- L'épervier et le vent

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108- Troglo pressé!

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109_ Le blaireau qui n'aimait pas la musique
A Sourdeval/50, la maison du refuge n'est pas occupée régulièrement pas ses propriétaires, et plutôt trop occupée par d'autres : le blaireau a creusé son terrier dans la cave, sous la maison...
Vu le volume de terre remuée, il en va de la solidité de l'édifice. Yves a décidé de se battre avec les moyens de la civilisation moderne: deux postes de radio réglés sur NRJ, jour et nuit durant deux semaines, positionnés aux deux entrées du terrier! Efficace, et peu cher (deux jeux de piles): terrier abandonné. Restent l'énorme "taupinière", le sentier de ce promeneur précautionneux et les latrines du jardin typiques du blaireau.

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110- Comme du lierre, mais avec des fleurs blanches!
Le lierre est courtisé au printemps pour ses baies appréciées des merles, des grives, des pigeons... Au même moment, et même plus largement au cours de l'année, une plante ornementale à baies noires est aussi fréquentée : j'ai vu au moins le merle et la fauvette à tête noire gober les fruits de Raphiolepis sur la terrasse. Ce petit arbuste donné pour ne pas résister au froid a déjà passé une dizaine d'années dans le sud Manche et ce malgré quelques épisodes de gelées.
La photo est mauvaise : d'une part les merles mâles du jardin se poursuivent et "gardent" la potée; du coup ils stationnent très brièvement sur l'arbuste; d'autre part je suis nul en photo derrière une fenêtre (et encore pire devant).
Aspect de la plante fin mars (abeilles et bourdons visitent les fleurs)