Les réserves du GONm
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Re: Les réserves du GONm
Réserve de Chausey :
Après bientôt 7 jours (le temps passe très (trop) vite ici !) de « confinement » à Chausey, il est temps de faire un premier bilan. L’ambiance est particulière. Nous sommes une quarantaine de personnes sur Grande île et les seuls bateaux sur l’eau sont ceux des professionnels, dont le Bec-Scie fait partie ! Quelle chance ! Il règne un calme incroyable dans l’archipel tant sur la Grande île qu’en mer. Les stagiaires hivernants peuvent peut-être se faire une idée en s’imaginant remplacer les habituels bonnets, doudounes, gants et bottes par des lunettes de soleil, crème solaire, tee shirt et … tongs ! Bon, sur les îlots, été comme hiver, une bonne paire de botte et un jean, c’est appréciable !
Cette semaine, les matinées ont été consacrées au suivi des passereaux. Les nicheurs habituels sont là, du troglodyte mignon au canard colvert en passant par le rougegorge, la poule d’eau, la fauvette à tête noire ou les hirondelles de fenêtre et rustique. Il y a aussi les estivants dont le martinet noir et il y a quelques migrateurs : le phragmite des joncs, la fauvette grisette, la bergeronnette flavéole, le busard des roseaux (une femelle est présente dans l’archipel depuis le 1er mai au moins) ou le pouillot siffleur. Et puis il y a quelques surprises : la première est la nidification du bruant zizi, dont les stagiaires du mois de mars se souviendront avoir vu un couple ! Une espèce rare à Chausey, une quinzaine de données et une seule mentionnant un indice de reproduction … en 1993 ! Deuxième surprise, la nidification de 2 couples de mésange charbonnière. Dit comme ça, cela ne paye pas de mine… mais quand on sait que l’espèce n’a pas niché à Chausey depuis 25 ans, on voit les choses autrement ! Autre surprise, la présence d’un couple de tourterelle turque ! Va-t-elle nicher après 20 d’absence ? Et il y a aussi la présence d’un couple de serin cini, également nicheur rare ici, et celle d’un couple de traquet motteux qui semble apprécier la dune de Grande Grève, vide de ses promeneurs habituels…
Dans un prochain post, j’évoquerai les oiseaux marins …
PS : J’adresse ici un grand merci à Mireille et Gilbert qui m’ont gentiment prêté leur maison pour que les suivis ornithologiques habituels menés par le GONm puissent avoir lieu cette année ; à Arnaud, Annick et Jean-Alain et plus largement aux confinés chausiais pour leur accueil chaleureux (mais en distanciation !) ; et à Sophie restée confinée toute seule à la maison pendant ce temps-là !
Après bientôt 7 jours (le temps passe très (trop) vite ici !) de « confinement » à Chausey, il est temps de faire un premier bilan. L’ambiance est particulière. Nous sommes une quarantaine de personnes sur Grande île et les seuls bateaux sur l’eau sont ceux des professionnels, dont le Bec-Scie fait partie ! Quelle chance ! Il règne un calme incroyable dans l’archipel tant sur la Grande île qu’en mer. Les stagiaires hivernants peuvent peut-être se faire une idée en s’imaginant remplacer les habituels bonnets, doudounes, gants et bottes par des lunettes de soleil, crème solaire, tee shirt et … tongs ! Bon, sur les îlots, été comme hiver, une bonne paire de botte et un jean, c’est appréciable !
Cette semaine, les matinées ont été consacrées au suivi des passereaux. Les nicheurs habituels sont là, du troglodyte mignon au canard colvert en passant par le rougegorge, la poule d’eau, la fauvette à tête noire ou les hirondelles de fenêtre et rustique. Il y a aussi les estivants dont le martinet noir et il y a quelques migrateurs : le phragmite des joncs, la fauvette grisette, la bergeronnette flavéole, le busard des roseaux (une femelle est présente dans l’archipel depuis le 1er mai au moins) ou le pouillot siffleur. Et puis il y a quelques surprises : la première est la nidification du bruant zizi, dont les stagiaires du mois de mars se souviendront avoir vu un couple ! Une espèce rare à Chausey, une quinzaine de données et une seule mentionnant un indice de reproduction … en 1993 ! Deuxième surprise, la nidification de 2 couples de mésange charbonnière. Dit comme ça, cela ne paye pas de mine… mais quand on sait que l’espèce n’a pas niché à Chausey depuis 25 ans, on voit les choses autrement ! Autre surprise, la présence d’un couple de tourterelle turque ! Va-t-elle nicher après 20 d’absence ? Et il y a aussi la présence d’un couple de serin cini, également nicheur rare ici, et celle d’un couple de traquet motteux qui semble apprécier la dune de Grande Grève, vide de ses promeneurs habituels…
Dans un prochain post, j’évoquerai les oiseaux marins …
PS : J’adresse ici un grand merci à Mireille et Gilbert qui m’ont gentiment prêté leur maison pour que les suivis ornithologiques habituels menés par le GONm puissent avoir lieu cette année ; à Arnaud, Annick et Jean-Alain et plus largement aux confinés chausiais pour leur accueil chaleureux (mais en distanciation !) ; et à Sophie restée confinée toute seule à la maison pendant ce temps-là !
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Re: Les réserves du GONm
Réserve de Chausey :
Dans l’archipel, c’est comme sur la Grande Ile, un calme incroyable. Surtout lors du week end du 1er mai où aucun ronronnement de bateau de pêche ne venait troubler la quiétude du lieu. Les oiseaux ne sont dérangés ni sur leurs sites de reproduction, ni sur leurs sites d’alimentation, alors ils ne volent ni ne crient comme d’habitude, ils sont tranquilles… Comparés à d’habitude, ils sont mêmes très peu farouches. Les grands cormorans par exemple tardent à quitter leurs nids, se posent non loin et reviennent sitôt l’intrus que je suis (probablement le seul qu’ils ont vus depuis 2 mois !) parti de la colonie.
Mais ne rêvons pas, il n’y aura pas de miracles pour les effectifs nicheurs. Les premiers résultats obtenus montrent une baisse d’environ 15% des grand cormoran et cormoran huppé, mais une augmentation de 2% du goéland argenté. Attention, ces résultats sont à prendre avec précaution, tous les îlots n’ont pas été comptés. Pour les autres nicheurs, le harle huppé est là, tout comme le tadorne de Belon ou l’aigrette garzette. Les sternes caugeks et pierregarins étaient présentes dès le 2 mai et au cours de la semaine, parades, offrandes et cantonnements ont débuté. Les premières pontes d’huîtrier-pie ont été déposées dès le 1er mai.
Le fou de Bassan est très présent, pêchant par dizaines dans le sund en compagnie des sternes.
Quelques hivernants sont encore là : le plongeon imbrin, la macreuse noire, l’eider à duvet, le bécasseau violet … Et des passages de migrateurs : quelques dizaines de courlis corlieux, quelques centaines de bécasseaux variable, chevaliers gambette et aboyeurs, tournepierre à collier…
Dans l’archipel, c’est comme sur la Grande Ile, un calme incroyable. Surtout lors du week end du 1er mai où aucun ronronnement de bateau de pêche ne venait troubler la quiétude du lieu. Les oiseaux ne sont dérangés ni sur leurs sites de reproduction, ni sur leurs sites d’alimentation, alors ils ne volent ni ne crient comme d’habitude, ils sont tranquilles… Comparés à d’habitude, ils sont mêmes très peu farouches. Les grands cormorans par exemple tardent à quitter leurs nids, se posent non loin et reviennent sitôt l’intrus que je suis (probablement le seul qu’ils ont vus depuis 2 mois !) parti de la colonie.
Mais ne rêvons pas, il n’y aura pas de miracles pour les effectifs nicheurs. Les premiers résultats obtenus montrent une baisse d’environ 15% des grand cormoran et cormoran huppé, mais une augmentation de 2% du goéland argenté. Attention, ces résultats sont à prendre avec précaution, tous les îlots n’ont pas été comptés. Pour les autres nicheurs, le harle huppé est là, tout comme le tadorne de Belon ou l’aigrette garzette. Les sternes caugeks et pierregarins étaient présentes dès le 2 mai et au cours de la semaine, parades, offrandes et cantonnements ont débuté. Les premières pontes d’huîtrier-pie ont été déposées dès le 1er mai.
Le fou de Bassan est très présent, pêchant par dizaines dans le sund en compagnie des sternes.
Quelques hivernants sont encore là : le plongeon imbrin, la macreuse noire, l’eider à duvet, le bécasseau violet … Et des passages de migrateurs : quelques dizaines de courlis corlieux, quelques centaines de bécasseaux variable, chevaliers gambette et aboyeurs, tournepierre à collier…
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Re: Les réserves du GONm
Bonjour à tous,
Sur la réserve de la Grande Noé, une douzaine de couples de fuligule morillon ont élu domicile comme c'est le cas depuis plusieurs années.
Les naissances ont eu lieu. Malgré une apparente quiétude, des soucis humains sont toujours présent. Aux dernières constatations, une présence de barbecue sur le parking, des personnes bricolent aussi leurs voitures sur la réserve mais aussi des ballets de voitures suspects laissant présager un trafic en plein jour. Comme nous ne pourrons pas avoir de gite à hirondelles cette année suite au confinement, la clôture a été remise pour éviter de trop tenter les pécheurs. De plus, une chaine a été posée sur le nouveau passage à bateau. Céline
Sur la réserve de la Grande Noé, une douzaine de couples de fuligule morillon ont élu domicile comme c'est le cas depuis plusieurs années.
Les naissances ont eu lieu. Malgré une apparente quiétude, des soucis humains sont toujours présent. Aux dernières constatations, une présence de barbecue sur le parking, des personnes bricolent aussi leurs voitures sur la réserve mais aussi des ballets de voitures suspects laissant présager un trafic en plein jour. Comme nous ne pourrons pas avoir de gite à hirondelles cette année suite au confinement, la clôture a été remise pour éviter de trop tenter les pécheurs. De plus, une chaine a été posée sur le nouveau passage à bateau. Céline
Modifié en dernier par céline.chartier le 10 mai 2020, 21:08, modifié 3 fois.
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Re: Les réserves du GONm
RNR des marais de la Taute
Petite séance de voyeurisme d'un accouplement de bergeronnette flavéole le 4 mai aux Prés de Rotz. La femelle baguée a niché sur ce site en 2019. La séquence dure 3 secondes, l'accouplement proprement dit de 1,5 à 2 secondes.
Petite séance de voyeurisme d'un accouplement de bergeronnette flavéole le 4 mai aux Prés de Rotz. La femelle baguée a niché sur ce site en 2019. La séquence dure 3 secondes, l'accouplement proprement dit de 1,5 à 2 secondes.
Alain Chartier
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Re: Les réserves du GONm
Bonjour,
Hier, un nouveau passage au niveau de la plage a été effectué afin de voir si les poussins de grands gravelots étaient nés. Un des couples qui avait un nid complet avec 4 œufs il y a quinze jours a dû être prédaté car la femelle avait pondu un peu plus loin et nous n'avons trouvé qu'un seul œuf. Ce passage a permis d'observer les premiers poussins de l'année. Nous avons également trouvé deux nouveaux nids, ce qui ramène à 9 le nombre de couples nichant sur la bordure de la réserve naturelle. C'est un record! Il y avait encore quelques groupes de grands gravelots, tournepierre, de bécasseaux sanderling et variable en migration.
Bonne journée à tous,
Hier, un nouveau passage au niveau de la plage a été effectué afin de voir si les poussins de grands gravelots étaient nés. Un des couples qui avait un nid complet avec 4 œufs il y a quinze jours a dû être prédaté car la femelle avait pondu un peu plus loin et nous n'avons trouvé qu'un seul œuf. Ce passage a permis d'observer les premiers poussins de l'année. Nous avons également trouvé deux nouveaux nids, ce qui ramène à 9 le nombre de couples nichant sur la bordure de la réserve naturelle. C'est un record! Il y avait encore quelques groupes de grands gravelots, tournepierre, de bécasseaux sanderling et variable en migration.
Bonne journée à tous,
ML TRAVERT
Réserve naturelle nationale de Vauville
1 rue de la Grande Vallée
50440 VAUVILLE - La Hague
Tél : 02 33 08 44 56
Réserve naturelle nationale de Vauville
1 rue de la Grande Vallée
50440 VAUVILLE - La Hague
Tél : 02 33 08 44 56
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Re: Les réserves du GONm
RNR des marais de la Taute
Hier soir visite de l'entité du Cap. Les travaux effectués permettent le maintien d'un niveau d'eau affleurant durant une longue période : il a néanmoins baissé et les 10 ha sont humides mais ressuyés hormis la zone d'étrépage bien en eau. La différence de niveau qui était de 42 cm le 14 avril est encore de 31 cm un mois plus tard (45cm : réseau général ; 76 dans les fossés internes). Les effets ne se sont pas fait attendre : pour la première fois, 3 couples de vanneau se sont cantonnés avec au moins 4 poussins. Aussi, sarcelle d'été et canard souchet, ainsi qu'une marouette ponctuée se manifestant spontanément à 21h30 (pas de chant mais des cris séparés).
Hier soir visite de l'entité du Cap. Les travaux effectués permettent le maintien d'un niveau d'eau affleurant durant une longue période : il a néanmoins baissé et les 10 ha sont humides mais ressuyés hormis la zone d'étrépage bien en eau. La différence de niveau qui était de 42 cm le 14 avril est encore de 31 cm un mois plus tard (45cm : réseau général ; 76 dans les fossés internes). Les effets ne se sont pas fait attendre : pour la première fois, 3 couples de vanneau se sont cantonnés avec au moins 4 poussins. Aussi, sarcelle d'été et canard souchet, ainsi qu'une marouette ponctuée se manifestant spontanément à 21h30 (pas de chant mais des cris séparés).
Alain Chartier
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Re: Les réserves du GONm
Première visite printanière sur l'îlot de Tombelaine
Comme partout la reproduction bat son plein.
Le faucon pèlerin niche pour la première fois sur la tour du versant sud, conséquence des 2 mois de confinement que nous venons de connaître.
Ce versant est le plus fréquenté par les groupes parcourant la baie du Mont Saint Michel, heureusement les groupes sont actuellement peu nombreux, espérons que les dérangements n'auront de conséquences sur la reproduction de ce majestueux rapace présent sur l'îlot depuis maintenant 2011.
Les goélands sont aussi bien présents, mais une nouvelle fois il semble que la population des argentés ait diminuée conséquence de l'épisode de prédation de 2019. Par contre la population nicheuse du Mont Saint Michel a doublée par rapport à l'an dernier.
Le goéland marin est encore nombreux, tandis que le brun a pratiquement disparu.
Normalement nous devrions pouvoir effectuer le dénombrement des nicheurs à la fin de ce mois et connaître l'état des populations.
Les ardéidés sont en pleine reproduction avec déjà pas mal de grands jeunes prêts à l'envol, en ce début d'après-midi environ 70 aigrettes garzettes et 30 hérons gardeboeufs étaient présents sur le site.
Au niveau des passereaux les espèces habituelles étaient présentes : 3 chanteurs d'accenteurs mouchets, 2 troglodytes mignons chanteurs, 1 merle noir, 4 pigeons ramiers, 1 fauvette à tête noire chanteuse, 2 linottes mélodieuse et 2 corneilles noires.
A noter que la végétation souffre déjà de la sécheresse de ce printemps.
Comme partout la reproduction bat son plein.
Le faucon pèlerin niche pour la première fois sur la tour du versant sud, conséquence des 2 mois de confinement que nous venons de connaître.
Ce versant est le plus fréquenté par les groupes parcourant la baie du Mont Saint Michel, heureusement les groupes sont actuellement peu nombreux, espérons que les dérangements n'auront de conséquences sur la reproduction de ce majestueux rapace présent sur l'îlot depuis maintenant 2011.
Les goélands sont aussi bien présents, mais une nouvelle fois il semble que la population des argentés ait diminuée conséquence de l'épisode de prédation de 2019. Par contre la population nicheuse du Mont Saint Michel a doublée par rapport à l'an dernier.
Le goéland marin est encore nombreux, tandis que le brun a pratiquement disparu.
Normalement nous devrions pouvoir effectuer le dénombrement des nicheurs à la fin de ce mois et connaître l'état des populations.
Les ardéidés sont en pleine reproduction avec déjà pas mal de grands jeunes prêts à l'envol, en ce début d'après-midi environ 70 aigrettes garzettes et 30 hérons gardeboeufs étaient présents sur le site.
Au niveau des passereaux les espèces habituelles étaient présentes : 3 chanteurs d'accenteurs mouchets, 2 troglodytes mignons chanteurs, 1 merle noir, 4 pigeons ramiers, 1 fauvette à tête noire chanteuse, 2 linottes mélodieuse et 2 corneilles noires.
A noter que la végétation souffre déjà de la sécheresse de ce printemps.
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- aigrette garzette photo T Grandguillot.JPG (234.42 Kio) Vu 7669 fois
- DEBOUT Claire
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Re: Les réserves du GONm
Première visite après déconfinement à la réserve de Saint-Sylvain :
Temps magnifique, sec et chaud (27°C) bien propice pour la nidification de l'oedicnème criard. Un couple et un nid sont trouvés.
D'autres couples sont également présents ailleurs sur la commune.
Dans la réserve, un bruant proyer, une caille chanteuse, une bergeronnette flavéole. Dans le voisinage un busard Saint-Martin mâle + une femelle.
Sur le chemin, 5 alouettes chanteuses sont entendues du côté de la réserve, aucune de l'autre côté qui est un champ de colza dense.
Temps magnifique, sec et chaud (27°C) bien propice pour la nidification de l'oedicnème criard. Un couple et un nid sont trouvés.
D'autres couples sont également présents ailleurs sur la commune.
Dans la réserve, un bruant proyer, une caille chanteuse, une bergeronnette flavéole. Dans le voisinage un busard Saint-Martin mâle + une femelle.
Sur le chemin, 5 alouettes chanteuses sont entendues du côté de la réserve, aucune de l'autre côté qui est un champ de colza dense.
Claire DEBOUT
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Re: Les réserves du GONm
Bonjour à tous,
Quelques nouvelles de la boucle de Poses.
A la réserve de la Grande Noé, des familles d'anatidés se montre comme cette famille de cygne tuberculé. Les orchidées sont apparues parfois proche des sentiers. Malheureusement des chenilles processionnaires du chêne ont élu domicile proche de l'observatoire central. De la rubalise a été installée pour délimiter la zone afin d'éviter des incidents allergiques pour les humains. Sur la boucle de Poses, la colonie de mouettes mélanocéphales a chuté des 2/ 3 suite à la sortie du confinement et l'autorisation de pêche. Des contacts avaient pourtant été pris avec la base de loisirs, l'association des véliplanchistes qui gère l'ile et les sociétés de pêche ainsi qu'à l'OFB. Cependant le message n'a pas eu l'air d'être compris. Donc dès la constatation du dérangement par le GONm, nous sommes de nouveau intervenu auprès des structures. Depuis, la zone de quiétude des 200 m semble plus ou moins respectée selon les jours. Sur le lac des 2 amants, la vie suit aussi son cours Céline
Quelques nouvelles de la boucle de Poses.
A la réserve de la Grande Noé, des familles d'anatidés se montre comme cette famille de cygne tuberculé. Les orchidées sont apparues parfois proche des sentiers. Malheureusement des chenilles processionnaires du chêne ont élu domicile proche de l'observatoire central. De la rubalise a été installée pour délimiter la zone afin d'éviter des incidents allergiques pour les humains. Sur la boucle de Poses, la colonie de mouettes mélanocéphales a chuté des 2/ 3 suite à la sortie du confinement et l'autorisation de pêche. Des contacts avaient pourtant été pris avec la base de loisirs, l'association des véliplanchistes qui gère l'ile et les sociétés de pêche ainsi qu'à l'OFB. Cependant le message n'a pas eu l'air d'être compris. Donc dès la constatation du dérangement par le GONm, nous sommes de nouveau intervenu auprès des structures. Depuis, la zone de quiétude des 200 m semble plus ou moins respectée selon les jours. Sur le lac des 2 amants, la vie suit aussi son cours Céline
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Re: Les réserves du GONm
Petite visite hier sur Tombelaine
Cette fois je n'avais pas oublié la carte mémoire de mon appareil photo !
La colonie d'ardéidés se trouvant sur le versant nord de l'îlot il est facile de faire de jolies photos depuis le pic de la Folie qui la domine
Cette fois je n'avais pas oublié la carte mémoire de mon appareil photo !
La colonie d'ardéidés se trouvant sur le versant nord de l'îlot il est facile de faire de jolies photos depuis le pic de la Folie qui la domine
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